Salamander Natsu
Boss Admin l Cap'tain des Fairy Tails l Dragon Force
Feuille de personnage
Fruit du Démon: Mera Mera no Mi, le logia du feu
Prime / Grade: ///
Berry: 200 000
![La Naissance des Fées à Paradise Island [PV-Shana] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | | Sujet: La Naissance des Fées à Paradise Island [PV-Shana] Dim 29 Nov - 18:42 | |
| Une mer bleu azur si transparente que l’on peut scruter les poissons au fond de l’eau, une longue plage de sable fin d’un blanc éclatant où il fait bon bronzer, un ciel bleu sans nuage aucun et portant un soleil éclatant, une chaude chaleur nous débarrassant de nos souci, une hutte-buvette pour nous désaltérer avec des cocktails colorés et sucrés, une petite île tropical, un paradis pour les voyageurs au milieu de la mer de South Blue. Une île que Natsu apercevait...de son œil vitreux. Le teint pale et verdâtre, un air maladif de ceux que l’on tue à petit feu, les boyaux dans la gorge près à se déversé dans la mer, ses yeux mi-clos soulignés de cernes mauve était rempli de douleur, ses lèvres entrouverte et haletantes en recherche d’air, sa peau moite ruisselante d’une sueur froide, tout cela témoignait du mal des transport dont était affligé Natsu. Il lança un long gémissement ridicule et se traîna difficilement sur quelques centimètres pour se laisser tombé nonchalamment contre la rambarde de sa barque, le visage vers la surface miroitante de l’eau. Il prit une légère teinte verdâtre et plaçât les main devant sa bouche pour essayé de retenir se qui voulait désespérément sortir de son estomac déjà plutôt vide.
- Ça va Natsu ?
La petite bestiole qui venait de parler avec une voix fluette s’approcha en trottinant du jeune pirate. C’était un petit chat au pelage d’une étrange couleur puisqu’il était bleu ciel hormis sur le ventre où il était d’un blanc crème. De grands yeux de chat empli de curiosité et de ferveur envers Natsu, son meilleur ami, il fixait d’ailleurs celui-ci avec inquiétude et compassion.
- Natsu ?
- Bouarf...’tain...plus jamais...
Et oui le chat parlait, petite chose propre à lui-même que Natsu avait assimilé sans le moindre problème...bon ok il avait pas vraiment tilter au début qu’un chat qui parle et qui marche sur les deux pattes arrières c’est plutôt chelou mais une fois le choc retardataire passé ils étaient très vite devenu inséparable. Happy, tel était le nom du chat et l’on peut remarquer que celui-ci lui va plutôt bien vu le sourire quasi constant qu’il conserve sur son visage ainsi que sa joie débordante, secoua la tête, son capitaine répétait à chaque fois qu’il ne monterait plus jamais sur un navire à peine le bien sur la terre ferme et il était bien obligé d’y retourner à chaque fois. Le chat fixa l’île paradisiaque qui se rapprochait de plus en plus puis ensuite leur petite embarcation : une barque longue d’un peu plus de deux mètres, faite dans de bonne planche et possédant un mat peu haut sur lequel était tendu une toile rapiécé et recousue par endroit. Ça allait bien sur les petites distance pour une personne (un chat ça compte pas vraiment niveau place) plus les vivres et l’eau mais si ils arrivaient à enrôler d’autres personnes ils seraient plutôt à l’étroit dans l’embarcation...et cela ne serait pas bon pour l’image du capitaine si il se mettait à dégobillé sur les autres. Selon lui il suffirait de voler un bateau le cas échéant, même si le simple fait que de penser à la navigation et le souvenir des mouvements des navires lui avait donné l’envie de vomir. Le rafiot fendit vaillamment les flots, transportant ses passagers au hasard étant donné qu’aucun d’eux ne savait navigué, de toute façon un mec ne pouvant que pousser des gémissements et un chat ne pouvait strictement rien faire avec un bateau même en sachant naviguer.
- Natsu, on a un problème !!!!
Natsu poussa un horrible bruit de dégobillement alors qu’il ouvrait la bouche, vaincu à une centaine de mètres de la plage ; il faut dire qu’il avait tenue une semaine avant d’avoir vomi ce qui était plutôt remarquable. Il se redressa tant bien que mal et regarda son compagnon félin avec un regard mi-interrogateur mi-mourrant. Celui-ci lui indiqua la côte avec un geste frénétique de la patte et les yeux rond devant la scène qui se déroulait. Ils s’éloignaient. Natsu m’y deux secondes à percuté et lorsqu’il enregistra enfin l’information ses yeux se firent aussi rond qu’une soucoupe, la mâchoire pendant bêtement. Pour lui cela signifiait une chose : adieu la terre ferme et la bouffe, bonjour l’océan et le mal de mer. Il pointa l’île avec son sa main droite, le regard horrifié, comme buger devant le spectacle.
- Happy ! Fais quelque chose !
- Vi !!!
Le pauvre chat chercha désespérément un moyen de faire avancé le bateau dans la bonne direction aussi il trottina en rond sur ses petites pattes arrières autour du mat en poussant des couinements, soudain il s’arrêta, une idée génialissime aillant germée dans son esprit. Il se concentra et déploya ses ailes, une autre particularité du chat qui pouvait créer des ailes dans son dos à tout moment et pendant une brève période, puis il sauta et battit des ailes pour se retrouver pile au milieu de la voile, à la poupe de l’embarcation ; il prit une profonde inspiration et...souffla. Il s’escrima à souffler comme un dératé pour faire du vent et pousser le bateau dans la bonne direction. Il mit trois bonnes minutes avant de comprendre que cela ne marcherait pas et c’est dépité qu’il se laissât tomber sur ses pattes. Happy se remit alors à réfléchir à une solution. Natsu toussa lourdement, crachant une flamme au passage et Happy le fixa les yeux écarquillés et tout excité, il avait trouvé la solution...mais il se calme ensuite. Il avait oublié son idée. Le chat bleu se remit à chercher une idée quand Natsu toussa de nouveau.
- Vi !
Il se cramponna à son idée réapparut et se précipita à toute vitesse sur son capitaine, attrapant le coup de ce dernier avec sa queue et déployant ses ailes. Il les battit avec précipitation pour traîner le malade jusqu’à l’arrière du bateau. Le pauvre Natsu ne comprenait pas ce qu’il se passait et se laissa faire en poussant des gémissements plaintifs pour se laissé choir finalement à la poupe, contre la rambarde. Le chat se plaçât à son côté et lui expliqua son plan.
- Natsu il faut que tu crache des flammes !
- Aquequoi ?
- Vi.
Le chat pensant avoir répondu à la question baragouinée maladroitement se recula rapidement et fixa l’île qui paraissait désormais hors d’atteinte. Il eut un grand sourire et lançât un « En avant !!! ». Le « capitaine-propulseur de bateau » fixa les eaux clair avec un regard vide, comme s’il avait envie qu’on l’achève plutôt que de retourner en pleine mer, soudain il perçu un mouvement au fond de la mer et il concentra le peu de son esprit encore actif dessus. C’était une espèce de poisson long de trois mètres et aussi large que l’embarcation de Natsu. Un gros poiscaille quoi, rien de bien méchant...sauf quand celui-ci se dirige vers vous, la gueule ouverte et remplie de crocs pointu et des yeux qui montrait une grande fringale. Le visage du jeune pirate passa du verdâtre au blanc et ses yeux fixèrent la bête avec une très très grosse inquiétude. Combien de chance pour que la bestiole fracasse le bateau avec un seul coup de mâchoire ? Les dents du mastodonte marin ne l’inquiétait pas vraiment, c’est plus le fait de se retrouvé balancé dans la flotte qui équivaudrait à une exécution pour le jeune capitaine des Fairy Tail étant donné qu’il était devenu une vrai enclume après avoir « dégusté » un fruit du démon plutôt exécrable. Il ne perdit pas de temps à réfléchir, ses instincts de « dragonneau » prenant le dessus, il prit une profonde inspiration et expira une puissante flamme le visage contre la surface aqueuse. La chaleur ardente du brasier réchauffa instantanément l’air et l’eau en surface, la puissance du souffle contre la surface proche poussa le bateau en avant, celui-ci prenant rapidement la vitesse suivit d’un léger nuage de vapeur. L’équipage pirate au nombre de deux fusa sur les flots, poursuivie par le foutu requin démoniaque qui aimait bien la course poursuite avec ses proies, néanmoins malgré toute sa vitesse il ne parvenait pas à rattrapé le bateau qui prenait toujours plus de vitesse, le distançant rapidement. Happy se marrait comme un fou, cramponné à la proue du bateau pour ne pas se laissé emporté par le vent qui sifflait dans ses oreilles et étirait ses moustaches. La plage approchait et le bateau ne diminuait pas l’allure qu’il avait sur les flots d’autant que Natsu ne pouvait soufflé son feu tout en regardant où ils allaient et que Happy était excité par la vitesse du bateau en plus d’être inconscient d’un danger à foncé aussi vite. La course de vitesse se termina quand la barque passa de la mer à la plage, devenant ainsi le premier bateau à naviguer sur la terre en étant propulsé par le feu d’un barj’ malade en transport. Ils traversèrent la plage de sable fin, bousculant au passage des touristes, détruisant une buvette, provoquant un début d’incendie aux abords d’une taverne et finissant par exploser un hangar en bois où étaient rangés des bateaux. Celui-ci prit rapidement feu, le même feu qui brûla un autre hangar presque collé au premier et ainsi de suite pour arrivé au total de trois hangar en proies aux flammes. Les touristes, habitants, pécheur, milicien se regroupèrent rapidement autour de la catastrophe quand un grand rire joyeux monta depuis le milieu des flammes. Une poutre s’envola pour se fracasser un peu plus loin, suivit d’autre débris plus ou moins cramé. Une silhouette émergeât des flammes, une silhouette aux cheveux rose. Natsu sauta hors des flammes, le visage hilare, les poings levés vers le ciel.
- Youhouuuuuuu, ‘tain c’est trop bon d’être sur la terre ferme !
- Vi, faudra recommencer le coup du propulseur, c’était génial.
Le chat bleu venait d’atterrir sur l’épaule de son capitaine, le visage aussi illuminé que ce dernier. Aucun des deux n’avaient l’air inquiet devant la troupe qui les regardaient ahuris et devant les soldats qui semblait à la fois déboussolé et près à faire une arrestation en règle. Natsu s’avança décontracté vers la taverne la plus proche, l’envie de remplir son estomac se faisant rudement sentir, et surtout entendre grâce à de véritable hurlement gastrique, mais sa route fut barrée par les lances de soldats postés là. Il les regarda un instant avant d’avoir un grand sourire. Des flammes naquirent sur sa main et enveloppèrent son bras droit, le même phénomène se passant pour le bras gauche, de petites flammèches grandirent à divers endroits de son corps.
- Que la fête commence !
Ouais il est bourrin.
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