Plusieurs légende circule sur son lieu de naissance mais aucune n'est vraiment exacte car il n'est pas possible de savoir où il est né.
Race :
Vampire. Vous verrez dans ma ft les détails.
Votre Ambition:
Devenir le meilleur docteur et être reconnu en tant que éminent scientifique.
Votre Choix:
Pirate
Spécialisation:
Docteur, psychopathe
Armes :
Il possède un scalpel en granit marin offert pas sa famille de vampire, ils possèdent aussi plusieurs couteaux qui sont caché dans sa veste rouge, dans son costard il ne possède qu'un seul couteau de 20 centimètre pour pouvoir poignarder les gens en toute discrétion, pour ceux de sa veste ils sont surtout là pour le style car sortir huit couteaux, un entre chaque doigt sa c'est le style. Pour ce qui est de tuer à distance, non il ne les lance pas car devoir racheter un couteau après chaque lancé c'est un peu cher alors Le Docteur a tenté de créer un six-coups mais malheureusement celui-ci s'enraye assez facilement donc le docteur doit quand même se rapprocher de sa cible pour avoir plus de chance de la toucher.
Physique :
On pourrait penser de par son nom que Le Docteur possède une blouse blanche tachée de sang et qu'il se balade scalpel à la main près à couper tout ce qui bouge. Mais la réalité en est autre car malgré ses tendances psychopathes, Le Docteur c'est rester discret. Il possède un grand manteau rouge recouvrant l'entièreté de son corps, son manteau rouge lui vint d'un marchant de tissu qui prétendait vendre un tissu que rien ne peut tâcher, il est vrai que c'était un charlatan mais le rouge de cette veste permet aussi au Docteur de cacher les traces de sang sur celle-ci. Son chapeau ,quand à lui, lui sert pour pouvoir enfuir sa tête dedans pour ne pas être reconnu même si c'est ce n'est pas vraiment discret de se cacher derrière un "costume" rouge. Pour parfaire son accoutrement il possède une paire de lunettes noires qui lui donne en même temps un air mystérieux, classe et intelligent. Malgré tout le Docteur s'est quand même introduit dans la société, il se vêtit parfois d'un costard pour passer discrètement les foules. Quand il marche dans ce costume c'est avec une certaine classe qu'il se sent marcher, il se prend pour un riche bourgeois n'ayant aucun problème financier. Malheureusement la réalité est autre, pour ses expériences et son matériel le Docteur doit débourser de grosse somme et ce n'est pas son modeste cabinet qui arrive à couvrir ses frais, alors il n'est pas rare de croiser un marchant à qui il doit de l'argent c'est pourquoi ce costume est bien pratique. Enfin réellement c'est juste un homme parmi les hommes, un gardien pour préserver l'humanité. Enfin, son culte pour la déesse Baal est à l'instar de celui des mayas, toute les pleines lunes notre "héros" choisi une vierge à sacrifier pour son culte. Cela lui a donné sa réputation de fou car en dehors de ses sacrifices Le Docteur cherche à perfectionner la race humaine en tentant de lui greffer les meilleurs qualité des animaux mais son manque de matériel le pousse souvent à l'échec. Il n'est pas rare de croisé des gens à qui il manque un bras ou une jambe si vous tournez dans la région. Ne pensez pas que ce sont de simple accident comme par exemple une scie tombée, un combat, non c'est juste une tentative de plus sur le compte du Docteur.
Son anatomie est peu être fort laide mais bien utile car après plusieurs tentative notre docteur à réussi à se greffer plusieurs "don" de la nature sur son propre corps. Son nez est le premier élément qu'il a voulu changer car il sentait le potentiel de transformation au première tentative il ne parvint à avoir qu'un odorat que très légèrement améliorer mais à présent il se trouve avec un nez comparable à celui d'un chien et reconnait n'importe qu'elle odeur. Ses oreilles quand a elle n'ont pas été changée, car aucun animal n'a vraiment de quoi donner en matière d'ouïe ou du moins aucun animal que Le Docteur connaisse, donc ses oreilles sont comparable à deux récepteurs normaux qui ont pour ainsi dire les mêmes capacités que des oreilles humaines de base ni plus ni moins. Ses yeux noirs sont si profond que on pourrait plonger dedans et se confondre avec l'abime, mais ses yeux possèdent plusieurs capacités intéressante, la première est un soupçon de nyctalopie, les yeux de chat étant très fragile Le Docteur n'a pas sur préserver tout le potentiel, ajouté à cela l'œil du faucon on peut dire que c'est intéressant, mais comme les yeux de chat reluisent et semblent jaunes dans la nuit ceux du Docteur aussi, les soirs de pleine lune on peut apercevoir les yeux du docteur rougir progressivement. Ses lèvres sont quand a elle aussi rouge que les péripatéticienne de la rue mais pas pour les même raison, celle du docteur sont gorgée de sang en permanence car il semble avoir développé une anomalie à cet endroit précis.
Si nous descendons un peu sur le corps du docteur nous remarquons que autour de son cou se trouve une sorte de petite écharpe, cet écharpe pourrais paraitre anodine car il est vrai son but premier n'est que éthique mais dans cette écharpe redoutable se cache un long fil de nylon pour pouvoir étrangler les gens par derrière tout en ayant l'air tout à fait décontracté l'acte accompli. Mais ce n'est pas tout, cette écharpe représente aussi son appartenance au clan des adorateurs de Baal, c'est en quelque sorte leur signe de distinction, sa leur permet de s'éviter pour ne pas qu'il se sacrifie entre eux où qu'ils choisissent la même victime.
L'anatomie du Docteur est fort complexe car il ne ressemble quasi en aucun point au homme de son temps et qu'il change régulièrement de forme, mais nous allons commencé par sa carrure en générale. Il est fin tel un oiseau, non il ne peut pas voler n'exagérons pas mais son corps tout fin lui permet à l'instar des oiseaux de se déplacer en vitesse mais de ce gain de vitesse résulte une contraindre qui n'en est pas moindre, en rendant ses os plus légers comme les oiseaux il se rend beaucoup plus fragile et les fractures deviennent alors courantes.
Enfin ces bras,ses bras étaient étrangement musclé par rapport à l'ensemble de son corps. Il n'y avait aucune ressemblance avec le reste de son corps, il explique tout simplement cela par le fait que il doit être assez fort pour maintenir ses "patients" et que si ils dorment ils doit parfois les portés. Ses jambes avaient pour elles une taille normale mais une détente apparemment hors du commun. Elles ressemblaient à de gros ressort dont on aurait colorié la peau. La puissance qu'il pouvait amener dedans était à l'opposé de ce que ses jambes laissaient croire, il a déjà surpris plus d'un marine à sa poursuite par sa vitesse assez peu ordinaire.
Tel une enveloppe, le corps nous donne une idée de son contenu tel une enveloppe nous donne une idée de la lettre à l'intérieur.L'âme serais la lettre, pleine d'élément important, de souvenirs et de sentiments. Mais cet accoutrement n'est pas pour Le Docteur qu'un vulgaire couverture qui ne reflète pas son caractère. On remarque qu'il est discret, mystérieux et pourtant imposant le respect et la crainte. Après tout cette description on ne peut pas vraiment dire que la gente féminine raffole du Docteur. Il n'en a d'ailleurs que faire car le secret de la reproduction n'a aucun secret pour lui et il peut donc s'en servir à son désir.
Caractère & morale :
Dans son esprit tant de chose se bouscule, il se prend pour le créateur mais en même temps vénère une divinité qui serais à l'origine du monde. Je vais pour vous essayer de décortiquer la pensée de cet énigmatique personnage à l'allure si étrange. Donc comme dis au dessus il se prend pour Le créateur de la race supérieure aux hommes, un mélange entre l'homme et l'animal, même si cela ne reste que des expériences sans but bien précis ,excepté celui d'améliorer les humains; il se considèrent quand même déjà comme le créateur de cette race en quelque sorte il s'auto-vénère car il est lui aussi un mélange d'homme et d'animaux.
Il est donc le fondateur de sa "religion" mais il vénère une autre déesse, vous comprenez à présent la difficulté d'expliquer le mental de se personnage. Sa religion, intéressons nous un peu à celle-ci, elle se rapproche du gothique de base mais en étant bien plus destructrices. Baal prône la purification du monde par les flammes de l'enfer et encourage chacun de ses membres à tuer/purifier le plus de gens. Il trouve les humains faibles par rapport à certaine force de la nature. Bien sur ses serviteurs ne sont pas de simples humains, la plupart son des vampires, hybrides, ou bien des chimères.
Le culte de cette "secte" restreinte consiste à porter l'écharpe rouge signe de domination sur les humains normaux mais aussi signe d'obéissance. C'est pourquoi Le Docteur ne la porte que pendant les cérémonies car devoir se soumettre ne lui plait pas plus que sa. Puis ils choisissent ensemble une vierge et la traque. Ensuite la vierge doit être sacrifiée un soir de pleine lune et doit mourir à minuit. Plus elle est jeune et belle plus on peut dire que le sacrifice est réussi.
Passons maintenant au sept pêchés capitaux qui sont pour le culte de Baal de simple émotion mais qui doivent choquer les plus croyants d'entre vous. Pour commencer la haine, il y a une seule chose que Le Docteur déteste, les femmes, elles sont faibles et que très peu utiles à l'humanité, elles font le ménage et la cuisine tant de chose inutile à une vrai survie car sa les hommes savent le faire. La seule chose qui le pousse à laisser cette sous-race en vie c'est le fait qu'elle permette au homme de se faire plaisir mais aussi de procréer pour permettre la survie de leur race. L'amour, en vue de la haine qu'il porte au femme expliquée ci-dessus, il est clair que l'amour envers les femmes ne la jamais vraiment attiré, par contre l'amour qu'il porte à la science et ses dérivées et sans limite, se tenant ou du moins essayant d'être toujours à jour par rapport au nouvelle invention, on peut donc dire aisément que les sciences font partie intégrante de sa vie et que elles ont dépassées le stade de passion. La luxure, sujet tabou pour quelqu'un d'aussi sérieux que lui car il n'est pas du genre à être voyeur enfin, comme tout homme certaine femme ne le laissent pas sans aucun effet mais la raison le reprend assez vite et il peut retourner à des occupations plus productives. L'avarice, le gain d'argent à toujours été une préoccupation pour lui car l'argent amène le succès et peu être deviendra-t-il un éminent scientifique grâce à ses recherches mais son manque de moyen le ralentit cruellement. L'envie, il est vrai que Le Docteur envie les scientifique connus, les riches, ils envient tous les gens qui ont réussi là où lui a échoué. La gourmandise, Le Docteur mange peu voir très peu car se nourrir coute cher et que il suffit de s'injecter les bons nutriments pour faire baisser l'envie de manger. Donc vous ne verrez pas le Docteur s'empiffrer à moins que ce service soit gratuit, là il ne pourra s'empêcher de tout manger. La paresse, dans cette course à la recherche de l'homme parfait seul les plus fort y arriveront c'est pourquoi Le Docteur travaille sans relâche pour arriver à ses fins, dans ce cas-ci on ne peut parler de paresse. La colère, Le Docteur en est remplie, l'amertume de ne pas réussir le ronge et il n'est pas rare qu'il tue ses patients pour une petite erreur, car pas vu pas pris donc personne ne saura comment le patient est mort, Le Docteur n'éprouve aucun remord, aucune pitié envers ses pauvres cobayes qu'il utilise pour ses propres fins.
Passons au Docteur pendant une confrontation, il veut d'abord prendre les gens par surprise se faisant passer pour un malheureux et pauvre Docteur tout faible avant de les tuer dans le dos pendant que son adversaire aura pris pitié. C'est le genre d'homme à se lancer dans un plan après avoir tout étudier, le mot improvisation ne fait donc pas partie de son vocabulaire même si, et il a honte de l'avoué, il fait ses expériences à l'improviste, il tente de coupler deux choses ensemble et puis regarde le résultat. Il n'est donc pas rare que des choses surprenantes se produise dans son modeste atelier.
En cours
Histoire :
En cours
Post RP : (Un post rp est en fait un texte où vous mettez votre personnage en action. Décrivez donc les lieux où il est, les personnes qu'ils rencontrent. Il y a aussi un peu de dialogue évidemment... Le tout dans le but de nous montrer que vous savez écrire un texte mettant en action votre personnage. Le thème est libre. Il est possible de prendre un RP d'un autre forum en précisant son origine.)
Code du règlement:
Staff Powa
Comment trouve tu le forum ?
Il est bien fait
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Aléatoire
Qu'est qu'on devrait changer au forum ?
J'en sais trop rien.
Comment tu t’es retrouvé ici ?
Grâce à ma soeur.
Dernière édition par Le Docteur le Jeu 3 Déc - 22:51, édité 10 fois
Le Docteur
Sujet: Re: What's up Doc ? Ven 27 Nov - 22:22
Histoire
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été ici. Enfermé sous terre, ou alors en déroute, fuyant un prédateur dont j’ignorais souvent jusqu’à l’existence. Au début, à vrai dire, je considérais toutes ces fuites comme étant un jeu. Un simple jeu. Sans me douter une seule fois que ma vie était en danger. Pire, je n’avais même pas conscience que chaque seconde m’était précieuse, que je devrais lutter pour obtenir chacune d’entre elle. Mais j’allais bientôt le réaliser. L’histoire qui suit est celle que l’on m’a narré. Je ne peux garantir sa véracité, connaissant la personne qui me l’a déballé. Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un sordide mensonge. Mais c’est ce à quoi je crois. À votre plaisir de vouloir imaginer votre propre version.
Aux dires, je n’avais que trois ans quand tout est arrivé. Ma vie avant cet âge, elle ne vous intéresse pas, car elle a été des plus normales. Mes parents étaient d’honnêtes travailleurs, toujours errants sur les routes pour vendre le fruit de leur labeur. À ce qu’on m’a dit, ils s’arrêtaient de temps à autre dans une grande ville de l'île ou on vivait, où ils avaient une maison à leur nom. J’ignore où et quand je suis née ainsi que mon nom de famille. Je prétendrai donc que c’est de cette ville que je suis native, bien que je ne le sache pas plus que vous. Bref, c’était un jour pluvieux. Le ciel était envahi de nuages gris et, à ce qu’on m’a dit, les routes étaient glissantes. Le chariot contenant à la fois les marchandises et notre famille avançait un peu trop rapidement pour les conditions. Mon maître m’a révélé qu’une roue avait dérapée. Les chevaux s’étaient emballés, et mon père avait perdu le contrôle. Bientôt, le chariot avait chaviré, et déboulé le faussé qui longeait la route. Mes parents n’y avaient pas survécus. Je peux sans mal m’imaginer la scène : Les éclairs zébrant le ciel, les restes du chariot, les deux chevaux dont la vie s’était brisée et, sous la toile, un mouvement, et les pleurs du gosse que j’étais à cette époque.
Je n’ai jamais pu expliquer sa décision. J’ignore pourquoi il a choisit de s’encombrer d’un môme de trois ans. Je n’étais même pas en âge de comprendre ce qui m’arrivait. Il a seulement était mon maître, que j’ai très vite considérer comme mon père. J’ignore si il en fut autant pour lui. De cet homme, je sais juste qu’il m’a élevé et qu’il m’a entraîné. Toute mon enfance, il m’a aidé à développer mon pouvoir, tout en m’apprenant à lire et à écrire, en une seule langue. À ses côtés j’appris aussi à compter, l’histoire de ce pays ainsi que sa géographie, et les croyances et coutumes des différentes îles qu'il connaissait. Mais plus que tout, avec lui, j’appris la confiance. Ça peut sembler vieux jeu, oui. Mais c’est grâce à cela qu’aujourd’hui, je suis c’que je suis. J’ai grandi entourée de criminels notoires, mais aussi de bons hommes, en sachant que mon avenir serait le même que le leur. Je devrais irrémédiablement travailler à leurs côtés, de front contre un adversaire des plus redoutables. Dans une telle situation, il est primordial de faire confiance à son partenaire, et de réagir aux ordres sans hésitation. Hors, il est difficile d’accorder sa confiance à des inconnus. Mon maître m’a aidé à vaincre la tension qui m’envahissait lorsque je me retrouvais près de mes coéquipiers.
Nous étions partis pour en entraînement des plus normal. À l’époque, j’avais treize ans. Quant on y repense, ça ne fait pas si longtemps. L’activité du jour : pratique du maniement du Katana. Je m’étais déjà souvent exercée au maniement de cette arme, mais je n’étais certes pas préparée à ce que mon maître allait m’imposer. Sans explications, il me plaça un bandeau sur les yeux et m’indiqua par la suite qu’il approcherait neuf troncs d'arbres. Ils m’entoureraient, ainsi que mon maitre. Dos à moi, immobiles. Je devrais n’en laisser qu’un. Par la suite, il m’ordonna de tourner sur moi-même. Et c’était parti. Dépourvus de tout repaire, je n’savais qu’une chose : Je devais éliminer les neuf troncs. Parmi ces neuf-là, j’avais une chance sur neuf de toucher mon maître. Et c’était une question de hasard. Je ne pouvais me servir de mes sens pour différencier le vrai des troncs.
Il me laissa 20 secondes. La pression montait, et j’n’avais plus le choix. Je devais frapper. Je me suis donc avancée de quelques pas, et la lame de mon sabre a sifflé dans l’air, arrêtant sa course dans le bois d'un des troncs. Ce dernier tomba en silence et, revigorée par cette réussite, je me mis à frapper un à un, comptant le nombre d’éliminés. Huit. Il n’en restait plus que deux. Mon sabre fendit l’air pour la dernière fois, et vint terminer sa course en déchirant un flanc. Mais le bruit adoucit d’explosion retentit derrière moi. En entendant une plainte, tout près, j’arrachai mon bandeau et m’agenouillai près de mon maître. j'suis allé appelé immédiatement un médecin.
À mon grand étonnement, je ne perçu ni colère, ni déception dans le regard de mon maitre. Il se contenta de m’appuyer gentiment une main sur l’épaule, une fois qu'ils eurent terminé de le soigner. Je me souviens encore de ses paroles. Il m'avait alors expliquer que si javais réussis ou que j'avais échoues cette épreuve l’importait très peu. Car après peu de temps il avait calculé ses chances de réussite, et il en était venu à la même conclusion : il était presque impossible que il ne se fasse pas touché. Mais l’important, c’est que malgré tout, il n’a pas bougé. I ne m’en demande pas moins, maintenant.
Et sans attendre, il se banda lui-même les yeux. Je sentis l’appréhension me gagner en comprenant ce qu’il attendait de moi. Je n’avais pourtant pas le choix. Désobéir à mon maitrepourrait très bien me coûter l’exil. Je ramena donc neuf tronc aussi grannds que ma personne, et les disposai en cercle autour de mon maitre, qui tournait déjà sur lui-même. Dos à lui, je fermai les yeux et serrai les poings en entendant l’un de mes rondins tomber, plus loin. Un à un, ils furent éliminés, et plus le nombre diminuait, plus mes bras tremblaient. J’avais peur, c’était indéniable. En attendant de sentir la douleur fulgurante du sabre labourant ma chair, je serrai d’avantage les paupières. Et le neuvième tronc tomba. L’improbable s’était produit : je n’avais pas été touchée. Je me retournai vers mon maitre en silence et constata que ce dernier souriait paisiblement. Je lui avait fait confiance, malgré tout. Il m'avait d'ailleurs recommander de faire pareil avec mes amis, peu importe à quel point la situation semble dangereuse.’’
Les années ont passés, et mon maitre péri. Comment? On a refusé de m’expliquer ce fait, malgré mes protestations. Il est mort en chassant, une chasse où je ne pouvais pas l’accompagner. Il ne m'a laissé qu'une chose, son katana que je me jura de garder. Mais sans mon maitre, les premiers jours, je me suis sentit perdu. Perdu et affreusement seul. En fait, c’était la première fois que je réalisais à quel point, seul, j’étais. Ni ami, ni famille. Alors à quoi m’accrocher? À un souvenir, en me remémorant de vieilles paroles? Je savais que ça ne me suffirait pas. Il me fallait absolument trouver un but, mais j’ignorais par où commencer. Je choisis donc de faire ce qui semblait être le plus à ma porter : me mêler a la vie pour laquelle on m’avait éduqué depuis mes trois ans. Chasseur de primes en haute mer. Que savais-je de ses gens, mis à part que mon maître en était un? Dans toute l’innocence de mes vingt ans ans, je tentai de me faire bien voir de ces gens, sans même savoir quels étaient leurs desseins. Et peu à peu, leurs principes devinrent les miens. ‘‘De par une terreur générale, nous créerons une paix inviolable.’’. Suis-je dans le faux en croyant ces paroles? Peut-être bien, mais c’est ce à quoi je m’accroche, à présent. Certes, j’ai eu des moments de doutes. Très souvent, j’ai imaginé un enfant tremblant de peur dans une maison en ruine, atterré sur le cadavre de ses parents. Et je me suis dit qu’en restant chasseur je risquais de provoquer de telles situations. Pourtant, je n’ai jamais plié. J’ai été plus fort que mes doutes et mes peurs.
J’ai toute ma vie été élevé par un maitre génial. Par lui, j’ai acquis toutes mes valeurs, mes connaissances et mes techniques. Mais j’ai aussi appris plus. J’ai appris de lui jusqu’au sens de la vie. Je ne suis qu’un gamin, mais j’irai jusqu’au bout, pour achever coup après coup la guerre que l’homme immature a installer sur ce monde qui leur a été offert. Mensonge ou vérité? À vous de le déterminer. En tout cas, moi, c’est ma vérité.
Mon histoire aurait pu s'arrêter là mais elle ne faisait que commencer, j'étais depuis peu partisan de Baal, j'étais un des plus faibles mais ils m'avaient tout de même accepté car il voyait en moi un potentiel. Je participais à leur réunion dans le but d'apprendre j'avais airé sur la mer en quête de savoir et il m'avait recueilli. J'étais maintenant un des leurs, mais à l'époque il n'y avait que un famille de vampire qui adorait Baal, j'étais comme un fils pour eux, il m'avait recueilli hébergé et nourri. Au début j'ai cru que ma vie était ici et qu'elle se finirait sans doute aussi ici mais je me suis bien vite aperçu que je n'avais pas la même patience que les vampires et rester dans cette demeure cloitré à longueur de journée est une chose que je ne peux plus supporter. Alors, dans la plus grande discrétion je me suis épris d'amitié avec la plus jeune mais aussi la plus jolie de la famille. Après un mois de dure labeur pour la charmer j'avais enfin obtenu ce que j'attendais, qu'elle me transforme en vampire pour qu'elle puisse m'aimer comme un semblable malheureusement son père ne l'entendait pas de cette oreille et me chassa de la maison, moi qu'il considérait comme un fils. Errant j'ai rencontrer une autre communauté sur une île dont je ne citerais pas le nom de peur que des centaines de mes fans y aillent, non je voulais dire que la centaine de personne auquel je dois de l'argent me retrouve. Là j'appris à devenir un vrai docteur mais bon un vrai docteur dans le culte de Baal ne représente rien de bon pour mes patients.
La séance est terminée
Salamander Natsu Boss Admin l Cap'tain des Fairy Tails l Dragon Force
Feuille de personnage Fruit du Démon: Mera Mera no Mi, le logia du feu Prime / Grade: /// Berry: 200 000
Sujet: Re: What's up Doc ? Ven 27 Nov - 22:27
Merci d'utiliser le modèle de présentation du fofo ^^
Le Docteur
Sujet: Re: What's up Doc ? Jeu 3 Déc - 20:16
Voila le post rp désolé du retard.
†Je veux décéder†
†Introduction†
Je ne suis ni un homme ni un animal, je suis entre les deux, sans avoir rien fait pour cela. Je suis rejeté par les hommes et ne trouvent pas ma vrai place chez les animaux, je suis voué à la solitude. Je ne vis pas, je m'efforce de survivre à cette solitude. Le temps n'a pas d'emprise sur mon être. Je suis tel une pierre, lassé d'être au même endroit tout le temps, il est temps de me fondé un avenir. Peu importe une vie éternelle quand on n'en profite pas. Une vie mortelle est si courte que chaque moment est savourer mais quand on sait que notre vie peu durée éternellement comment peu-t-on l'apprécier ? A défaut de rendre tout le monde comme moi pour être moins seul j'aimerais améliorer l'humanité, changer la mentalité mais surtout leur rendre cette liberté perdue depuis longtemps.
Pour cela je suis devenu Le Docteur, un homme au services des problèmes des gens. J'ai rapidement compris que cette chose ne n'était pas utile car les gens venaient pour des broutilles. J'ai alors décidé de changer le physique humain car après de longue analyse on peut remarquer que un homme de taille et poids moyen comparé à un homme obèse parait plus "rayonnant" car il se sent mieux dans son corps. C'est pourquoi si on change le corps peu être que l'esprit suivra. Malheureusement les cobayes manquent et je ne peux pas en trouver si facilement car je dois me nourrir avant tout, alors je dois me résoudre à tenter certaine expériences sur moi mais je ne peux en dire plus.
†Arrivée à Atsu Island†
Je suis comme vous avez pu le constater je me passionne pour les sciences. Cela m'a souvent aidé, j'ai d'ailleurs pu rencontrer d'éminent scientifique pour parfaire mes connaissances mais il me reste encore beaucoup à apprendre. C'est pourquoi je me suis dirigé vers Atsu Island pour rencontrer le Docteur Brask, un célèbre scientifique s'étant spécialisé dans la fabrication de sérum. C'est avec une excitation certaine que je m'étais lancé à sa recherche cherchant le moindre indice qui pouvait me rapprocher de lui. Je n'arrivais à rien et pour noyer mon désespoir je n'avais trouvé d'autre remède qu'une bonne pinte de bière près du feu dans l'auberge de mon village. Les ivrognes allaient et venaient, cet auberge était réputée comme la meilleure de la région mais je n'en connaissait même pas le nom. Je savais juste qu'elle se situait vers le centre de la ville. Comme à son habitude le barman jugeait les gens à leur apparence je vous laisse imaginer sa réaction en me voyant il semblait plus choqué avec moi que avec la moitié de la taverne, je pourrais dire que j'ai l'habitude mais l'alcool m'ayant mis dans un état second je ne contrôlais ni mes actions ni mes dire et je pense que deux trois insultes sont partis mais il m'a tout de même servi une bière. Après un petit moment assis à regarder les gens défiler devant moi je me suis décidé à sortir de ce bar qui me semblait de plus en plus bizarre au fil des boissons ingurgités.
En partant je jetais un coup d'œil autour de moi quand j'aperçus un jeune garçon il se vantait de changer l'eau en vin. Je l'observais de loin ne voulant pas me faire remarquer plus. Le jeune homme pris une coupe quelconque qu'il rempli d'eau il prononça une formule surement inutile car je savais très bien qu'il allait surement tenter une réaction chimique pour le changer. Il injecta entre ses formules deux gouttes d'une potion de sa création paraissait-il. Ensuite il couvrit le verre avec un drap et puis attendit. On remarqua le drap un peu bouger mais rien de bien suspect puis il fit gouter tour à tour au gens autour qui était stupéfait de se tour. Je me suis alors avancer et j'ai demander de refaire le tour. Comme je m'y attendais il me répondit que c'était un tour unique. Je soulevai alors la coupe elle me semblait fort lourde je remarquai alors un petit bouton de fer. En appuyant dessus un petit trou s'ouvrait pour vider l'eau dans un réservoir et en ré appuyant du vin prenait place. J'ai alors demandé son nom car il fallait être ingénieux pour savoir faire des choses pareils il me répondit un nom incompréhensible mais ajouta qu'il était l'assistant du Docteur Brask. Comment lui pouvait-il être son assistant ? Je me suis alors rapprocher et j'ai commencé à dialoguer avec lui mais il semblait tenace mais une dizaine de verre de vin eurent raison de lui et il m'indiqua la demeure de son maitre. J'appris aussi que sa mission était de trouver un autre apprenti, saisissant mon aubaine je me présentais à lui en tant que scientifique, le démon de l'alcool le convainc de me faire confiance et je ressorti de la taverne avec lui sous le bras m'indiquant son bateau pour partir vers Le docteur Brask.
Quand le bateau quitta le port je sentis une fumée étrange emplir mes narines, je levais les yeux au ciel et je remarquais que elle sortait d'une cheminée pourtant personne ne réagissait, je me suis lancé vers la cheminée en emportant avec moi un seau rempli d'eau que je venais de prendre dans l'immense mer de West Blue.
Au Feu, Au feu !!!
J'approchais de la base de la cheminée quand je vis le jeune homme abaissé avec une pelle à la main, il faisait brûler du charbon qu'il avait enduit avec une substance spéciale. Je posais mon seau à terre et lui demandais ce que il faisait Il me répondit vaguement et je n'avais rien compris à sa réponse mais il valait mieux ne pas paraitre stupide au yeux de l'acolyte du Docteur Brask. La mer était agitée, le bateau fendait les vagues et avançait à vive allure en direction de Atsu Island, une île devenue célèbre grâce au Docteur Brask et ses fabuleux sérums guérisseurs. Mais il y avait une autre réputation qui le précédait malgré lui, il était connu comme étant un homme solitaire n'aidant pas son prochain, mais les habitants ne se rendent pas compte que leurs demande incessantes ne font que le surmener et qu'il ne peut s'occuper de tous, d'ailleurs je ne comprends pas pourquoi il veut toujours rester sur cette île qui est devenue un supplice pour lui car il ne peut même plus dormir avec les gens qui campent autour de sa maison pour avoir, un sérum laxatif, énergique etc.
Retour sur le bateau, même si il semblait posséder un moteur, le bateau possédait quand même des voiles en cas de panne. Elles étaient bombée et permettait de gagner quelque kilomètres par heures. Le bateau ne possédait pas de chambre séparée et je devais dormir dans un divan installé dans la chambre de l'acolyte. La terre de Atsu Island se profilait à l'horizon. Les maisons commençaient à grossir à vue d'œil.
†Rencontre avec un collègue†
Je descendis en hâte du navire car l'impatience de rencontrer un spécialiste dans son domaine me rongeait. La passerelle ne bougea pas d'un poil sous mon poids plume, le quai était sale et il faisait un temps de chien. Un vieil homme avec une lanterne s'avançait pour venir nous parler. Derrière son capuchon noire il marmonnait des paroles incompréhensibles mais étrangement l'acolyte répondit, surement un de ses dialectes que seul les indigènes arrivent à comprendre et maitriser. Il parlait entre eux comme deux pipelettes. Finalement cette conversation ne fut pas veine car mon nouveau compagnon venait de négocier la taxe d'amarrage. Le vieil homme s'en retournait dans sa demeure quand il glissa sur une flaque d'eau. Son nez toucha le sol en premier et on entendit une complainte venir du vieil homme, son nez était ensanglanté et il le couvrait de ses deux mains. A la vue du sang mon esprit s'embrouilla cela faisait deux jours que je n'avais pas mordu quelqu'un est voir du sang couler abondament me rendait dingue. La frénésie me prit, j'arrivais près du vieil homme près à l'aider mais au lieu de cela je le mordis dans le cou, le vidant de son sang. Ses souvenirs vinrent à moi, une vie paisible à garder le port depuis son plus jeune âge. Aucun remord, aucune peine pour tuer un vieillard, mais ce n'était pas suffisant. Il m'en faut plus, beaucoup plus mes yeux pétillants de rouge se fixèrent alors sur l'acolyte du Docteur Brask qui était horrifié par ce spectacle. Il commença à hurler mais en vain, le vacarme infernal de la pluie couvrait le son de sa voix. J'avançais doucement vers lui un sourire au lèvre. Arrivant en face de lui une sorte de rire démoniaque sortit du fond de mon être. Il se recroquevilla de peur laissant sa nuque apparente, je n'eus alors aucun mal à le mordre et le vider entièrement de tout son sang. Ses souvenirs vinrent alors remplacer ceux du vieillard. Je savais maintenant plus de chose sur le Docteur Brask et l'emplacement de sa maison. Heureusement comme il n'y avait plus rien à tuer je me calmais et redevint normal, mais je sentais malgré moi que le sang m'attirait de plus en plus, plus j'en mangeais mieux j'étais. Mais quel prix allais-je payer pour cela ?
Une affiche m'indiqua que je me trouvais près du village nommé Theramore. C'était une ville peu prospère, malgré cela les gens restaient pour avoir leur "drogue" quotidienne de médicament, de sérum. Cinq kilomètres me séparait de la ville à pied je ne mis que 30 minutes avant d'arriver. Le manoir du Docteur Brask était immense mais semblait fort sombre ce qui ne me déplut pas. A côté de l'immense porte se trouvait un petit dispositif permettant de faire retentir une cloche mais quand je l'actionnais aucun bruit ne retentis de l'autre côté. La cloche ayant surement été retiré je rentrais après avoir toqué pendant une dizaine de minutes à attendre. Nul lampe n'éclairait l'intérieur de la maison, la seule lumière semblait provenir d'une pièce située vers le fond de la maison, surement la pièce où le Docteur Brask se cachait pour travailler.
Je m'approchais de lui doucement, le parquet grinça sous mon passage et le docteur se retourna, la lumière qui reluisait dans ses lunettes lui donnait un air de psychopathe mais en voyant son corps frêle la peur était vite partie. Il me jaugea du regard puis appuya sur un bouton et une sorte de mur en fer sortit du sol pour m'empêcher de le voir ou de l'atteindre. Il ne daigna même pas me parler. Je n'avais que quelque seconde avant de réagir et je me lançais donc vers l'intérieur de la pièce. Il se retourna et pointa un révolver vers moi.
Sortez de ma maison ! Je n'ai plus rien ! Laissez moi tranquille !!!!!
Je viens vous annoncez la mort de votre apprenti, je suis désolé.
Je n'étais bien sur pas désolé de la mort de son apprenti, il était pour moi un simple repas mais ce détail pouvait me bloquer à jamais dans ma quête et je ne pourrais donc pas approcher le Docteur Brask.
Mon apprenti ? Mort je ne comprend pas. *Si seulement il avait créer un chaman, il aurait pu utiliser la réincarnation.*
Pardon ?
Quoi ? Je suis pas sur World Of Warcraft ??? Oups, fichue vie irl déglinguée.
De quoi parlait-il je n'en avais aucune idée et pas l'envie de savoir. Devant moi se trouvait un viel homme si maigre que on pouvait savoir son nombre de côtes en le voyant. Cet homme avec les cheveux noirs en batailles, des cheveux gras bourrés de pellicules surement dues aux longues journées et nuit de travail enchainées sans se laver.
Je sais que vous pleurez la perte de votre élève, mais je suis ici pour vous proposer mon aide, je ne suis qu'un modeste scientifique sans grande renommée mais je veux apprendre et vous me semblez le meilleur maitre. Je sais que mon accoutrement ne vous pousse pas vraiment à accepter mais sachez que je n'ai nul mauvaises intentions, mon seul défaut serai ma curiosité scientifique qui me pousse à tenter d'élucider tous les mystères de ce monde.
Candidature acceptée, vous serez surement meilleur que mon ancien apprenti que je ne pleure pas tant que sa, à trainez dans les bars il était clair que les ennuis allaient arrivé, je suis curieux de savoir sa mort.
Euh, il est mort tué par un homme complètement bourré, je me suis approché de lui pour le soigner pendant qu'il agonisait mais je ne pus le sauver, avant de mourir il m'indiqua votre maison, surement avait-il su que j'étais scientifique et que je cherchais un excellent professeur.
Je ne sais quoi vous montrer en premier, rester derrière moi et observez.
Après plusieurs heures passées près de lui, quand je commençais à vraiment comprendre les mécanismes et les règles fondamentales qui régissaient cet sciences ont pu entendre des bruits venant de dehors. Une foule monstrueuse de villageois se trouvaient devant le manoir brandissant fourche et torche.
†Le décès†
Que voulais ces villageois je n'en avais pas la moindre idée mais le Docteur Brask semblait inquiété. Sa lèvre inférieure rumuait frénétiquement quand un son allait enfin sortir il se ravisa. Il me jaugea et dit simplement :
Je ne suppporte plus cette vie, tous ces gens que je ne peux pas aider, je les ai condamnés à être dépendant de moi, je ne peux continuer à vivre en sachant que je fais du mal, c'est pourquoi je pars, je sais je peux paraitre fou mais croyez moi j'y ai réfléchi et ma décision est sans appel maintenant, à vous de voir ce que vous voulez faire.
Je vous suis, après tout je vous dois bien quelque chose pour l'hébergement et mon apprentissage.
Le Docteur ouvrit alors la porte qui donnait vers le hall d'entrée, on entendait les gens qui se pressaient et qui tapaient à l'énorme porte. Le Docteur s'avança brandissant une fiole orange à la main. Il sortit de la maison et hurla de toutes ses forces au gens de partir, peu réagirent c'est là que la potion intervint, le Docteur la lança et une fumée de la même couleur apparut. Peu de temps après une explosion se fit retentir, le Docteur savait que les habitants connaissaient cette potion et que aucun mort ne sera a pleurer. Malheureusement une jeune fille ne savait cela et on entendit des lamentations dehors une femme pleurait la mort de sa fille. Quand je m'approchais j'aperçus du sang sur le sol et ma vue se brouilla, tout devint rouge je n'entendais plus les pleures mais des hurlements, j'étais pris d'une rage et d'une faim sans fin. Je tuais les gens se trouvant sur mon chemin, un vieillard s'approcha de moi, il était apparemment aveugle, sa chair devait être dégoutante, je le tua mais sans vider son sang car j'aurais surement attraper une maladie. La ville regorgeait d'ivrogne et leur seul vue me donnait une raison de les tuer. Bientôt toute la ville était au courant du début de mon massacre, ce que le docteur faisait pendant ce temps je n'en avais aucune idée et je n'avais pas l'intention de le savoir. Les villageois c'étaient rassemblés en masse devant l'hôtel de ville, ils transportaient les mêmes fourches mais pas pour les mêmes raisons, tous voulaient mettre fin à mes jours. Peu importe leurs avis, seul importait ma survie, celle de ma race, de mon espèce. Peu importe les autres, je devais les tuer, tous autant qu'ils sont. Ils devaient être une vingtaine de courageux villageois voulant en découdre avec moi. D'un pas léger je m'avançais vers arrivé à 10 mètres je voyais leurs veines palpitées, après un pas de plus cinq d'entre eux s'enfuir en courant. Je me sentis d'un seul coup plus puissant que jamais, les voir fuir comme de vulgaire jouet, ils s'enfuyaient vainement, car je les sentais et je les retrouverais, le maigre groupe devant moi avança d'un pas ferme il voulait me tuer, me faire payer mes crimes mais ils ignoraient la force intérieure qui m'abritait. D'un seul coup je compris mon erreur, un prêtre se trouvait parmi eux, tout vêtu de blanc, il portait une croix représentant le christ, rien que à sa vue je me sentis affaibli mais une force en moi m'empêchait de fuir, d'un coup je vis les gens de plus en plus grand et leur mines tantôt graves avait pris un teint attendri, en regardant mes mains je me rendis compte que j'avais rétréci, un homme s'approchant de moi me dit gentil garçon, je compris alors que j'étais transformé en jeune garçon. Le prêtre semblait ravi de ce changement et un sourire pervers lui apparu au coin des lèvres. Il rangea son crucifix et là je compris que c'était le moment d'attaquer, il me restait toujours des couteaux dans la veste qui était trop grande pour moi, en un rien de temps la lame de mon couteau transperça sa chair rose. Les hommes horrifiés me virent reprendre ma forme normale sous leurs yeux apeurés. Il ressentait la peur grandirent en eux, d'un bond je saisis la fourche de l'un d'eux pour venir le transpercer, ils étaient encore tous sous le choc et je pris cet réaction à mon avantage les tuant un à un. Leur ôter la vie était si simple que je n'y prenais aucun plaisir. Toute la ville était bientôt sous les flammes et il connurent mon courroux, longtemps ma race fut persécutée, il ne fallut pas moins de 3 heures pour les traquer et les tuer tous, la modeste ville de theramore venait de perdre plus de 100 de ses habitants dans une mort atroce, dès que je croisais quelqu'un la rage de mes ancêtres me pris et je les vidais de leur sang, je me sentais puissant, très puissant, jamais je ne fut aussi rassasié la soif en moi avait été étanchée mais il restait toujours mon désir de vengeance. Je rassemblais donc tous les cadavres dans l'avenue principale, pour signer mon méfait je plaçais un jeune chérubin empaler sur une lance au milieu de l'amas de corps inerte. J'enduis les corps d'huile puis je m'en retourna vers le manoir après avoir soigneusement allumer le brasier et vérifier que il n'y avait aucun survivant dans les parages. En revenant au manoir je vis le docteur étendu au sol avec une fiole dans sa main, dans l'autre il tenait une lette.
Citation :
J'ai besoin de vous qui que vous soyez, si vous lisez cette lettre vous êtes mon dernier recours, depuis trop longtemps les villageois me harcèlent et me rendent triste de jour en jour s'en est assez, je viens de boire cette potion de mort, elle provoquera un faux décès pendant une période de plus ou moins 12 heures, pendant cet période raconté au village ma mort et dites leurs que mon dernier souhait était d'être enterré près de ma mère vivant loin d'ici ( Inventez un lieu, soyez créatif ), ensuite retournez ici, préparez mon bateau et emmenez avec vous mon matériel, quand je me réveillerais je vous donnerais votre récompense.
Le Docteur Brask,
Il avait donc réellement un plan, la partie dans laquelle il fallait avertir les villageois était compromise mais cela il ne pouvait le savoir, je me lançais donc dans la tâche fastidieuse qu'était le rassemblement de tout son matériel formule et ingrédient. Après une heure de dure labeur tout était près, le bateau et les instruments, je déposais donc le docteur sur le lit du bateau, le bateau était retenu par de nombreuse cordes les défèrent une à une me pris dix minutes, quand je remontais sur le bateau je remarquais que le docteur avait légèrement bougé.
Après dix minutes de navigation, quand je revins vérifié où il était j'aperçus sa couche vide. Où était-il je n'en avais pas la moindre idée mais il n'était plus dans son lit. Quand je me retournais je l'aperçu brandissant un poignard.
Il ne doit pas y avoir de témoin !
Il fonça sur moi, j'eus à peine le temps de sortir mon couteau qu'il s'apprêtait à me frapper, j'eus juste le temps de caler son coup grâce à mon couteau mais l'impact fut assez puissant, comment un homme si frêle pouvait-il être doté d'une si grande puissance, je n'en avais pas la moindre idée mais il me fallait le vaincre. J'élaborais plus d'un plan mais au fur et à mesure du combat le Docteur Braks les déjouait un à un, son intelligence lui permettait de prévoir les coups mais il y avait quelque chose qu'il ignorait. Un corps à corps s'engagea, il me dominait mais ce n'était pas l'importance, il était si proche que je voyais sa lame reluire, je lui dévoila alors mes crocs, pris de stupeur il recula et je profitais de ce moment pour frapper sa poitrine, il s'écroula sur le coup. Me voila à présent seul, naviguant sur un bateau d'un mort avec une cargaison au propriété inconnue.
†Fin†
[Hrp] Après plusieurs perte de ligne j'ai décidé de vite finir, j'en suis désolé[/Hrp]
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What's up Doc ?
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