[♤]Vous êtes ??[♤]
Nom : Mitsukaze
Prénom : Shizue
Surnom : (facultatif) Shiz’, Yue(comme la lune en chinois), Yue-hime (Princesse lune…), White Snow et pour les autres, c’est à vous d’en trouver.
Age : 12 ans.
Sexe : Féminin
Origine : Nihon (alternative du Japon)
Race : (Humain, poisson, ect...) Humaine.
Votre Ambition : Elle espère un jour retrouver l’usage de la parole, mais aussi retrouver les agresseurs de sa mère.
Votre choix : (Pirate,marine,ect...) Pirate même si elle n’a pas vraiment eu le choix.
Spécialisation : (Navigateur,médecin,ect...) Cuisto chef!
Armes : Un
nodachi qu’elle maîtrise presque à la perfection malgré le poids et sa longueur (90 cm). Son arme lui a été donné par son père à ses 12 ans, et a appartenu à sa défunte mère qu'elle avait nommé kamikaze(かみかぜ) qui signifie « Le vent Divin ».
L'équipage : Fairy Tail
[◈]Plus en détails !! [◈]
Description Physique : (minimum 7 lignes)
« C’était l’hiver, une jeune femme, assise à sa fenêtre cousait. Distraite, elle se piqua le doigt, et trois gouttes de sang tombèrent sur la neige. Frappée par ce contraste, elle souhaita un enfant blanc comme neige, rouge comme ce sang et noir comme le cadre d’ébène de cette fenêtre. Peu après, une petite fille naquit. Elle avait les lèvres rouges comme le sang, les cheveux noirs comme l’ébène et la peau blanche comme la neige. » By the White Snow. (plus précisément la traduction du Ludwig Revolution tome 1 de Kaori Yuki... Moi Otak'...? Naaah~)
La fillette n’est pas bien grande, tout juste un mètre quarante-cinq et des poussières pour un peu plus de trente-cinq kilogrammes. Un corps frêle pour un petit gabarie, elle semble faite de porcelaine et pouvoir se briser avec facilité, mais ce n’est rien qu’une impression. Ses cheveux noirs de jais coupés en un carré légèrement effilé contrastent avec son teint laiteux. Ses lèvres dessinées avec délicatesse sont d’un rouge bordeaux voir un peu plus flamboyant selon l’astre solaire. Shizue a de magnifiques yeux aussi brillants que le joyau qu’on nomme saphir, ils sont ornés de longs cils noirs et relevés par de fins sourcils.
Sa garde robe est essentiellement composée de vêtements traditionnels de son village d’origine, qui s’étendent dans les tons pastels et aux motifs fleuris. La tenue est plus cintrée au niveau du buste, tendit que le bas se fait plus évasé pour laissé une certaine liberté de mouvement, tout comme les manches. Tendit qu’à ses pieds se trouvent des geta, qu’elle chausse par-dessus des chaussettes blanches.
Description mentale : (minimum 6 lignes)
On pourrait croire d’un avis extérieur que cette petite est timide ou introvertie, mais ce n’est pas exactement ça. La raison est qu’elle est muette nativement et ne peut donc exprimer ses sentiments à travers des mots comme vous et moi. Ne pouvant donc parler, il faudra l’observer pour la comprendre, ou encore attendre qu’elle vous indique ses pensées sur un bout de papier.
Il s’agit d’une personne assez calme et très mature pour son âge. Shizue sourit très peu, cependant cette petite lueur de joie qu’elle a parfois est un ravissement pour les yeux. Son expressivité se transmet essentiellement par le regard, mais parfois à travers ses joues qui prennent rapidement la teinte rouge qu’ont ses lèvres.
Ce bout de femme a tendance à se méfier des adultes, mais quand elle accorde sa confiance, elle se montre bien plus affective, et la trahir reviendrait à détruire son petit monde.
Son statut familiale lui a conféré énormément de capacités aussi utiles dans un affrontement que dans la vie quotidienne. L’art du sabre par son père, combattant renommé. Et la cuisine par sa grand-mère, qu’elle aime peaufiner un peu chaque jour et en a fait une vraie passion. (Sa spécialité étant la soupe de riz, allez savoir pourquoi…)
Histoire : (20 lignes minimum)
Une nuit de pleine lune, alors que l’hiver se faisait rude sur un petit village du pays de Nihon, une petite fille naquit malgré les mauvaises conditions de sa naissance. Une mort pour une vie en avait décidé le destin, et il avait fallu que cela tombe sur cette famille. Une bande brigands avaient envahi les environs et pillaient tout ce qui pouvait l’être. Tuant sans relâche femmes et enfants, petits et grands. Une courageuse habitante de ces lieux se démena pour protéger ses compagnons, et ce, malgré son état de fatigue intense due à sa grossesse qui approchait à terme. Dans un moment de relâchement, elle fut transpercée par l’un des envahisseurs qui s’enfuit aussitôt après. C’est dans une marée de sang que vint au monde la petite Shizue, extirpée du ventre de sa mère, et put survivre avec énormément de chance.
Après sa naissance, on parla très peu du problème qui était lié à sa présence sur terre, tout le monde y faisait face et tentait tant bien que mal, d’ébruiter le moins d’information possible, et c’était très bien comme ça. La petite grandit dans un cocon aimant et rassurant, malgré son mutisme maladif, auprès de sa grand-mère, et aussi de son père qui avait décidé de quitté la mer pour elle. Parce que la vérité ne peut mourir telle quelle, un beau jour alors qu’elle venait de fêter ses dix ans, et avait dévoré avec gourmandise le gâteau fait par sa grand-mère, la fillette gambadait dans le village qu’elle connaissait comme sa poche, quand elle entendit au coin de la rue, une discussion qui n’aurait jamais du arriver jusqu’à ses oreilles. Deux femmes du village jacassaient sur des choses et d’autres, lorsque le prénom énoncé de la petite aiguisa sa curiosité qui s’approcha et resta aussi discrète que possible à écouter :
«
Voilà déjà dix ans… » annonça l’une d’elle.
«
C’est que ça grandit vite ! » lui répondit l’autre.
«
Oui, c’est vrai… Kyoko me manque tellement, c’était une brave fille ! Quelle tristesse qu’elle soit morte, même si elle l’a été en héros… »
«
Effectivement ! Un vrai bain de sang parait-il ! »
Sans qu’elle s’en rende vraiment compte, une larme se mit à rouler sur sa joue. Malgré son jeune âge, elle comprit parfaitement la situation et en voulait à ses inconnus d’avoir tué sans scrupule cette femme si merveilleuse, tout ça pour quelques richesses en plus… Pendant quelques mois, elle ne mangeait que très peu, et ces heures de sommeil se raccourcissaient. Sa famille apprit alors la raison, et décida d’y remédier.
Il fut décidé qu’à ses douze ans elle parte sur les traces des assassins de sa mère. La décision était irréfutable, elle ne pouvait pas vivre sans ça… Il est vrai que la route était périlleuse, mais qu’importe, elle était plus qu’ambitieuse à cette idée-là. Entre cette annonce et le départ, le père de Shizue lui apprit la maîtrise du nodachi. Entraînement sur entraînement, elle put arriver à un bon niveau, voir excellent. Car la force ne fait pas tout, sa grand-mère lui enseigna quant à elle l’amour de la cuisine, afin qu’elle puisse rester un minimum féminine et devenir une bonne épouse plus tard, ne pouvant plus vraiment veiller sur elle désormais.
Le joue J arriva, et ce qui devait se passer se passa. Adieux déchirants et larmes amères, un être minuscule se détacha d’un tout. Il fut remit à la petite un sabre sans pouvoir particulier, sauf celui de l’amour d’une mère qui était resté. Il s’agissait évidemment de celui qu’avait détenu la grande Kyoko.
Test RP : (15 lignes minimum) Le soleil venait tout juste de montrer le bout de son nez, alors que Shizue était déjà sur les routes. Tous ces « au revoir » répétés tels des échos lui déchiraient le cœur, mais tant pis, il fallait faire avec. Munie d’un sac de voyage dont elle ne connaissait point le contenu, ainsi que son arme encore celée attachée à sa ceinture, elle marchait tranquillement sur ce chemin de terre que lui avait indiqué son père. Les larmes qu’elle avait cachées à sa famille commençaient tout juste à sécher quand du raffut se fit entendre à quelques mètres d’elle.
Un vieil homme semblait se faire agresser par deux jeunes voyous, qui désiraient apparemment lui voler l’une des marchandises qu’il transportait avec difficulté. La petite n’eut d’autre choix que de passer devant eux, en souhaitant qu’ils ne l’aperçoivent pas. Non pas qu’elle ne désirait pas jouer les vaillants justiciers, mais elle ne savait pas comment défaire ce nœud qui l’empêchait de dégainer son nodachi. Elle marcha donc discrètement à un mètre d’eux, voir moins, quand l’un des hommes se retourna vers elle et lui dit :
«
Hey ! Mais c’est qu’elle essaye de se faufiler la petite ! Regarde Kai ! Elle est toute mignonne en plus ! … Tiens ! Elle a même un katana !! Depuis le temps que j’en voulais un ! »
«
Bah sers-toi, c’est gratuit. Parce que tu crois qu’elle va s’y opposer ? » répondit-il d’un air amusé.
Sans attendre, le plus petit des deux, malgré que seulement quatre ou cinq centimètres les différenciaient, attrapa l’arme de la fillette par le fourreau. Surprise, mais ne désirant pas se laisser faire malgré qu’elle puisse avoir des problèmes, elle agrippa l’arme blanche par le manche. La pression entre les deux extrémités rompit le lien, éjectant la lame de son étui, que la fillette attrapa avec aisance.
«
Donne-le-moi… » fit le cadet avant de se jeter sur la brunette qui esquiva pour ne pas se le prendre de plein fouet. L’homme se retourna alors, revenant à la charge tout aussi férocement. Tel un petit singe, elle sauta pour atterrir sur la tête de l’adulte. Était-ce nécessaire de recourir à la lame ? Ils n’étaient pas armés après tout… Sentant une aura malveillante derrière elle, la Mistinguett se déplaça tout en pivotant sur elle-même vers la gauche évitant un punch du deuxième voyou. Faire dans la dentelle alors qu’ils s’y mettent à deux, c’était se mettre en péril. La petite se mit alors à exécuter un mouvement comparable à une danse qu’elle fit avec grâce et élégance, tout en ménageant un peu la puissance. Virevoltant entre les deux protagonistes, elles leur entaillèrent à chacun les bras de petites coupures superficielles sans pour autant ne pas être douloureuses quand on n'y est pas habitué. Ces personnes hurlèrent alors de douleur criant à tous bouts de champ qu’ils voulaient leur maman, quittant la route pour s'enfoncer dans la forêt qui les entourait.
Le vieillard s’approcha de la petite et lui tendit quelques clémentines pour enfin lui dire :
«
C’est tout ce que j’ai sur moi, mais tu as ma plus grande gratitude, merci. » et ainsi il s’en alla en empruntant le chemin inverse qu’elle venait de prendre. Shizue esquissa un ridicule sourire, même si ça en restait quand même un. Elle alla ramasser son fourreau qu’elle dépoussiéra avec un pan de sa robe et continua son bout de route allant jusqu’à oublier qu’elle pleurait un peu avant.
[♧]Parlons Forum maintenant !![♧]
Code du règlement: Validé par NatsuComment trouve tu le forum ? (liberté d'opinion xD) Il a besoin d’un coup de jeune <3, mais bon comme Shana me l’a dit, je compte sur vous~
Présence sur le forum ? (sur les 7 jours de la semaine) On me dit collé à mon Pc… 7j/7, 25h/24… Ah non… Tous les soirs en moyenne~
Qu'est qu'on devrait changer au forum ? (Les admins ?? Rêve xD) J’attends de voir ça… XD Ah si.. Mettez la présentation en code… ça sera plus simple pour la fiche ^^‘
Comment tu t’es retrouvé ici ? A cause de Shanachoupinette è_é
